Un train défraîchi, 500 enfants asthéniques et un chef de convoi prêt à tout pour les amener loin de la famine qui sévit dans le Tatarstan des années 1920. Tel est le point de départ du nouveau livre de Gouzel Iakhina qui, cinq ans après le poignant Zouleikha ouvre les yeux, nous embarque à bord de ce singulier convoi où la misère côtoie l’espoir d’une vie meilleure et où l’humanité mise à nu nous est offerte avec force et poésie à la fois.